Simcamb Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 Dévoré et adoré, comme d'hab (oui, jsuis fan de Werber). Ce livre est la conclusion du Cycle des Anges : - Les Thanatonautes - L'Empire des Anges puis du Clycle des Dieux : - Nous les Dieux - Le Souffle des Dieux - Le Mystère des Dieux Pour ceux qui ont lu ses précédents bouquins (surtout les deux cycles pré-cités), n'hésitez pas. Pour les autres, lisez les bouquins précédents [:xdddd]. Et si vous avez le temps, lisez aussi la Trilogie des Fourmis, qui pose les bases de son style d'écriture assez particulier. Pour expliquer sans trop spoiler, ces deux cycles sont l'histoire d'un homme (et de quelques amis) qui veulent constamment découvrir la dimension qui les dépasse. D'abord explorer le continent des morts (les Thanatonautes), puis l'Empire des Anges, et enfin le Royaume des Dieux. Le Mystère des Dieux est la conclusion (finale, pas de suite possible) de tout ça. Je l'ai lu en quelques jours (je vais pouvoir attaquer Harry Potter) tellement j'étais pressé de connaitre la fin. J'ai juste regretté quelques (rares) passages un peu tirés en longueur et fort prévisibles, quelques redondances avec ses anciens bouquins et idées, mais dans l'ensemble il est très bon. Si vous ne connaissez pas l'auteur, découvrez-le. Citer
dPm Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 perso, j'attends qu'il sorte en poche ^^ Citer
Wooley Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 Je suis entrain de lire, toujours aussi bon ce Werber Citer
Jooreixo Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 comme à chaque fois avec werber, j'ai très très peur de la conclusion Citer
Wooley Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 Elle était bien la conclusion "du papillons des étoiles" Citer
Jooreixo Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 jcrois que le pire du pire qu'il ai pu faire, c'est sur "le père de nos pères" et aussi pour l'incroyable secret (pas sûr du titre) Citer
Simcamb Posté(e) le 30 octobre 2007 Auteur Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 comme à chaque fois avec werber, j'ai très très peur de la conclusion[/quotemsg]ouais pareil, mais il s'en sort avec une chouette idée (qu'il laisse un peu trainer) qui conclut le tout de façon sympathique et poétique. jcrois que le pire du pire qu'il ai pu faire, c'est sur "le père de nos pères" et aussi pour l'incroyable secret (pas sûr du titre)[/quotemsg]Ouais, "le pere de nos peres" on connait la conclusion dès la moitié du bouquin [:xdddd] "L'ultime secret" je me souviens plus trop, il m'a pas particulièrement marqué Citer
Jooreixo Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 bon bah prochain achat alors, j'espère qu'il est pas partie en sucette pour une fois Citer
elninho Posté(e) le 30 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 30 octobre 2007 Je vais devoir attendre de rentrer en France (Noël) pour l'acheter. Citer
joebill Posté(e) le 31 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 31 octobre 2007 Je suis en train de le lire....et comme tous ses livres (romans ou autre) il ouvre des portes vers la reflexion, la maystique, la philosophie, le comportementalisme et les "sciences Humaines" en général. Je se saurais que trop recommander à ceux qui souhaite découvrir son oeuvre de commencer par le cycle des fourmis; puisque d'une certaine facon "Le cycle des Fourmis" / "Le Cycle des anges" / "Le Cycle des Dieux" sont des suites (qui peuvent se lire independemment). Reelement très interessant, quoique parfois un peu ego-centré (jacques nemrod; Gabriel Askolien c'est de plus en plus lui....) mais une exposition simple d'une analyse de l'histoire des peuples assez interessante. Perso j'adore Citer
dPm Posté(e) le 31 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 31 octobre 2007 personellement, j'ai trouvé que mon intérêt diminuait à mesure que j'approchais de la fin. thanatonautes: niquel empire des anges: presque niquel nous les dieux: bon ouais souffle des dieux: mouais donc ça me fait un peu peur... mais je le lirais.. parce que comme Chuck Norris, j'aime le travail bien fait. Citer
ChandlerBing82 Posté(e) le 31 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 31 octobre 2007 putain... Sim sait lire :| Citer
Jooreixo Posté(e) le 31 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 31 octobre 2007 ça fait des années qu'avec sim on discute ponctuellement des bouquins de werber ça me fait chier, je crois pas avoir le cycle des anges ou du moins les thanatonautes... faudra que j'investisse Citer
Simcamb Posté(e) le 31 octobre 2007 Auteur Signaler Posté(e) le 31 octobre 2007 Les Thanatonautes faut le lire, il est indispensable. Les Anges un peu moins, quand même. Citer
Jooreixo Posté(e) le 31 octobre 2007 Signaler Posté(e) le 31 octobre 2007 ah oui j'ai lu les thanatonautes, fort heureusement, jcrois que je l'avais pris dans une bibliothèque Citer
Jooreixo Posté(e) le 9 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 9 janvier 2008 Bon petit up.. le mystère des dieux... Je suis cruellement déçu par cet auteur qui bien que nous proposant une fin qui pourrait presque être sympathique (si on se détache de tout l'univers créé), nous pond un livre où son narcissisme transpire à grosses gouttes. On a droit pendant 475 pages à l'expression de son égot bien surdimensionné. Werber était interressant à lire avec les fourmis, les thanatonautes, son style était plus construit, plus structuré et surtout moins pédant ! La fin importe peu, au fur et à mesure de l'avancée dans le bouquin on a le drorit encore une fois à une ré-écriture de l'histoire ponctuée par de la philosophie de bac à sables. Son bouquin n'est que pretexte pour se vendre et pour regler ses comptes avec les journalistes, les média et les autres auteurs. L'épisode avec le plateau télé est tellement énorme de bétise (si vous avez déjà vu werber à la télé, les réactions sont les mêmes que celles décrites dans le bouquin, mais il tourne ça dans le sens où "j'ai raison les autres sont des imbéciles mais ils savent que j'ai raison) éposiode qu'on retrouve plus ou moins dans l'empire des anges avec Jacques Nemrod. Je suis allé voir son site web, la fin alternative est vraiment à chier et totalement prévisible, je le voyais venir depuis le tome 2, fort heureusement il n'est pas allé jusqu'au bout de l'imbécilité en publiant ça... Lui qui jadis avait une imagination débordante part s'enrouler autour d'un platane comme un grand. C'était le dernier bouquin de werber que j'achetais, la lecture d'un écriveur (oui pas écrivain, écriveur) qui se regarde écrire, ça m'indispose. Citer
Simcamb Posté(e) le 10 janvier 2008 Auteur Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 mon côté fanboy a un peu occulté ouais avec le recul, c'pas faux du tout (et même fort vrai), mais je lis le bouquin pour le bouquin, je fais rarement le lien avec l'auteur. (sinon, c'quoi l'url pour la fin alt ?) Citer
Wooley Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 faut pas chercher trop loin.... http://www.bernardwerber.com/intro_fr.html Citer
Jooreixo Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 Attention, fin alternative à chier ... - Lequel ? - «LIRE» ! Et par cet acte quasi divin créer un monde. Tu peux n'importe quand saisir un roman avec des personnages imaginaires et leur donner vie. Zeus t'a, paraît il, signalé que ton nom signifie en hébreu : «Qui est comme dieu ?». Tu es porteur de cette question métaphysique. Et tu connais enfin la réponse…. QUI EST COMME DIEU ?… Voilà enfin la réponse : LE LECTEUR. ENCYCLOPEDIE: APOTHEOSE L'Apothéose est l'acte qui consiste à métamorphoser un être humain en dieu (Theos). En Egypte les pharaons considéraient que leur prédécesseurs devenaient des dieux après leur mort. Il pratiquait donc la cérémonie d'Apothéose. Ce qui était pratique puisque cela leur permettait de se prétendre de leur vivant, eux mêmes, « futurs dieux ». En Grèce le passage d'humain à dieux était une manière de transformer les héros fondateur des villes en divinité aux pouvoirs magiques ce qui augmentait le prestige des dites cités. (Par exemple Heraklès simple mortel devient dieu et donne son nom à la ville d'Héraklion). Alexandre le grand reçut l'apothéose à sa mort. Cet honneur fut même parfois accordé à des artistes comme Homère. Pour les romains de l'antiquité l'Apothéose suivait un rite particulier. Un cortège était formé de sénateurs, de magistrats, de pleureuses professionnelles, d'acteurs portant les masques des ancêtres, et d'un bouffon imitant le comportement du défunt. Avant de mettre le corps sur le bucher on amputait le cadavre d'un de ses doigts pour qu'il reste quelque chose de lui sur terre. Puis le corps était incinéré et un aigle était laché pour servir de psychopompe et transporter l'ame du défunt vers le royaume des dieux. Jules César fut le premier romain a recevoir son Apothéose officielle juste après son assassinat en 44 avant JC. Par la suite le Sénat romain accorda l'Apothéose a tous les autres empereurs qui suivirent. Dans le domaine de la peinture et de la sculpture l'Apothéose est un thème recurant sensé représenter la réception d'un homme parmi les dieux. Dans le domaine littéraire «Terminer en Apothéose » est souvent utilisé pour signifier un feu d'artifice terminal. Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. Apport de Delphine. * * * LE DERNIER REVE Rêve. Je rêve. Je rêve que que je suis un humain et que je mène une vie normale. Reveille toi. Je garde les yeux fermés pour demeurer encore préservé dans mon monde onirique. - Reveille toi donc! Est ce que je rêve qu'on m'ordonne de me reveiller ou me parle t on vraiment ? Je serre les paupières pour me protéger de ce réel que je ne veux plus revoir. Dans mon rêve je dors paisiblement dans un lit en bois noir garni de draps de coton blanc dans une chambre aux murs bleus auxquels sont suspendus des photos de coucher de soleil. Il y a un papillon argenté au plafond. - Reveille toi… Je rêve que je me reveille. Je quitte une réalité et en rejoins une autre. J'entrouvre les yeux et je vois une bouche pulpeuse de femme qui me parle de près. Les lèvres roses se soulèvent révelant un profond tunnel au fond duquel je distingue vaguement un palais, une langue en bas, des dents luisantes sur les cotés. Tout au fond vibre une glotte. - Michael… J'ouvre plus largement les yeux et je vois à qui appartient la bouche rose. C'est un visage de femme. Son parfum est doux. Je me souviens. Ce monde fantastique est le «vrai monde». Et le monde que je pensais « normal » est le «monde de mon rêve». Qui suis je déjà ? Ah oui… Je me nomme Michael Pinson. J'ai été Mortel Je suis mort. J'ai été Ange. J'ai sauvé des ames. Je suis devenu élève dieu. J'ai fauté. Je suis redevenu mortel. J'ai gagné Delphine. Je suis redevenu élève dieu. J'ai gravi la deuxième montagne. J'ai atteint son sommet et j'ai été aspiré. Je me suis transformé en lumière. Je me suis tassé en étoile. J'ai parlé à la Galaxie. J'ai parlé à l'Univers. J'ai été projeté aux limites de l'Univers et j'ai découvert qu'en fait je n'étais qu'un personna… Delphine m'embrasse et interrompt le cours de mes pensées. - Je suis tellement heureuse de te revoir, Delphine. Autours de nous la nature hospitalière de l'Ile de la Tranquillité bruisse de milles chants d'insectes. Des parfums de fleurs et de plantes embaument l'air. La chaleur du matin vient évaporer la première rosée. Une musique de flute de pan jouée par un habitant résonne au loin. Delphine et moi restons longtemps enlacés. Puis j'entends un gazouillis d'enfant. Je me précipite dans la pièce d'ou proviennent les sons. Je vois un bébé dans un couffin. Je n'ose approcher. - C'est bien notre enfant. Comme tu avais disparu j'ai décidé de lui donner un prénom. «Romane». Delphine ajoute mutine : - Voilà ma « création personnelle ». - Romane? C'est joli comme prénom. Le bambin s'aperçoit de ma présence et me fixe avec ses deux énormes yeux bleus comme des lampes turquoises. Puis Romane a un début de sourire. Je prend le bébé dans mes bras et sent une émotion forte monter en moi. C'est comme si tout ce que j'avais vécu depuis plusieurs heures, plusieurs journées, plusieurs années, plusieurs siècles, plusieurs vies n'avaient servi qu'à arriver à cet instant. J'ai voulu savoir maintenant je sais. J'ai envie de rester avec Delphine et Romane seuls loin de tout. La réponse à la question de mon propre prénom «Qui est comme Dieu ? » m'a amené trop loin. J'ai envie d'une vie normale sans me poser de questions autres que «Qu'est ce qu'on mange ce soir ? » «Fera t il beau ? ». Non même pas ça, c'est déjà une question sur le futur «Fais t il beau ? » ou même « Qui va faire la vaisselle » et pourquoi pas «Qu'y a t il comme bon film à voir ce soir à la télévision?». « Ou connais tu un bon livre à lire ?». Peut être me passionner pour le sport, le football, le tennis ou les courses cyclistes. M'interesser à la politique. Ne plus avoir d'ambition. Rester tranquille a attendre que la vieillesse fasse son œuvre apaisante. - Tu sais Delphine… - Quoi ? - Tu avais raison. Il faut que je continue d'écrire en essayant de rendre les personnages les plus « vivants » possibles. Il y aura un moment ou ils se mettront à vivre au delà de moi. - Tu étais où ? demande t elle comme si elle n'avait même pas entendu ma remarque. - Si je te le disais tu ne me croirais pas. - Encore tes délires démiurges avec les mondes du dessus et du dessous ? Je l'embrasse et elle fait le geste de laver ma tête pleine de fantasmagories. Dans la journée qui suit, je retrouve tous mes amis de l'Ile de la Tranquillité. J'apprends l'évolution du projet «l'Arbre des possibles ». La vie du jeu informatique « Le Royaume des dieux ». Les habitants de l'Ile veulent faire une fête pour mon retour. Je répond que je préfère éviter les mondanités. Je reste près de Delphine et de Romane. Puis le soir sous le conseil de ma compagne je décide de raconter tout mon « délire », ne serait ce que « pour m'en débarasser » et ne plus ennuyer mon entourage avec ces histoires qui me hantent. Je note rapidement un plan général décomposant chaque aventures. Il y en a trop. Un seul ouvrage n'y suffira pas. Je décide d'écrire au préalable un volume d'avant « le Royaume des dieux ». Je pourrais titrer le premier «Les Conquerants du Paradis »… ou non carrément utiliser le néologisme « Les Thanatonautes ». Après naturellement il faudrait écrire «L'Empire des Anges » et pour les dieux peut être «Le Royaume des Dieux » et donc la suite «Le Mystère des Dieux ». Il faudra que je cherche si je ne peux pas trouver de meilleurs titres. Dès le lendemain matin de mon retour je commence à rediger les « Thanatonautes ». Les premiers mots tombent: une goutte, deux gouttes et puis c'est le ruisseau qui coule. «Ais je le droit de tout raconter ? Même à présent avec le recul, j'ai du mal à croire que ce qui s'est passé, s'est réellement déroulé. J'ai du mal à croire que j'ai participé à cette formidable épopée. Et j'ai du mal à croire que j'y ai survécu pour en témoigner. Evidement, personne n'aurait pu se figurer que tout irait si loin… » Dans les mois qui viennent j'écris pratiquement d'un trait le premier chapitres des «Thanatonautes ». En écrivant mon livre, j'ai l'impression de m'émanciper du roman dans lequel je me trouve, moi même. En fait en écrivant… j'ai l'impression que je reprends le contrôle de mon propre personnage. Donc je redeviens maitre de mon destin. D'abord du passé puisqu'en racontant mon histoire, je la digère et la remet en scène. Ensuite de mon présent. Peut être même de mon futur. Plus que jamais je me rends compte de mon privilège d'écrire, créer des mondes, et les faire vivre pour d'autres. L'écriture est mon seul moyen de devenir libre. Et une fois libre, je peux prendre la mesure de qui je suis vraiment et de ce que je peux faire. Je regarde au loin le soleil écarlate qui se couche sur l'horizon ciselé d'arbres tropicaux. J'inspire profondément et je ressens une impression de pur bonheur. Je souris. Je suis bien. Ici et maintenant. Toute cette aventure m'a appris que nos pouvoirs sont bien plus importants que nous ne l'imaginons. Nous avons oublié. Nous nous sous estimons. Nous ne parvenons pas à mesurer notre pouvoir parce que nous sommes gênés par nos souvenirs du passé et notre hantise du futur. Et surtout nous sommes trop… modestes. Pourtant telle est la seule conclusion auquel m'a amené toute cette vaste saga spirituelle. NOUS POUVONS TOUS DEVENIR DES CREATEURS DE MONDE. Nous pouvons composer de la musique, là ou il n'y a que du silence. Nous pouvons éclairer la ou ne règnent que des ténèbres. Nous pouvons tous créer de la vie, là ou il n'y a rien. Nous pouvons inventer des êtres là ou il n'y a personne. Je regarde Romane qui balbutie pas loin de mon bureau. Nous pouvons créer un être humain avec la simple rencontre de deux désirs. Et en accomplissons ces actes de pure création nous nous transformons en petits dieux. NOUS POUVONS TOUS DEVENIR DES DIEUX. Nous avons tellement de pouvoirs. Il suffit d'en prendre conscience. Reveil. * * * FIN DE LA TRILOGIE DES DIEUX. FIN DE LA PENTALOGIE DU CIEL. * * * Citer
Jooreixo Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 chu passé à Illium de Dan Simmons, c'est autre chose au niveau écriture Citer
Wooley Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 Jérôme Camus qui à fait la série "Malhorne" est tout bonnement génial (je parle de la série Malhorne) Citer
AzzA Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 3 œufs sont cachés dans cette image, saurez vous les retrouver ? Citer
yannito Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 Je suis le seul à ne pas aimer cet auteur ? Citer
dPm Posté(e) le 10 janvier 2008 Signaler Posté(e) le 10 janvier 2008 j'ai pas lu le livre encore, mais la remarque de Keats me conforte dans l'idée qu'il aurait du s'arrêter aux Thanatonautes. Citer
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