Project Codename : Erebion (nouvelle perso)


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Messages recommandés

[citation=60037,0,22][nom]gen_silver a écrit[/nom]Merci pour votre soutien, ça me donne envie d'avancer. Pour info, j'aimerais bien que la partie solo du mod se passe en tant que l'un des 3 marines... Ce serait bien fun, commencer déja avec un M16A2, un M9, un couteau et des grenades...

A propos des armes : Peut-on prendre celles d'autres mods ou add-on? Je présume qu'il faut demander avant... C'est surtout pour les armes des marines et des pilleurs, pour celles des orcs, on va devoir les créer.

Et pour mon avatar, c'est Ben le tueur de "C'est arrivé près de chez vous", je pense que vous l'avez reconnu...[/citation]

"Pour la carotte, le lapin est l'incarnation du mal."

Chaaaand! xD

[citation=60154,0,24][nom]naturalkillers a écrit[/nom]j'aurais parié que sa aurais été la femme, mais on poura choisir le perso, non ?

Les pilleurs l'arme de base serais :

2151.jpg

Max, ou peut etre des fusils de chasse :D[/citation]

spotted!

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Chapitre 4 : Sur le toit

Le groupe montait les escaliers pour accéder au toit, l’ascenseur étant en panne. Thorgen en profitait pour parler encore avec Loomis, ou Jules, le garde, toujours avide de connaître les choses de ce monde. Gennero en profita pour se mêler à la conversation :

-« Dites-moi Thorgen, vous m’avez dit que vous vous battez alors que j’étais au berceau… Quel âge avez-vous ? »

-« Et bien, j’ai 63 ans. »

Tout le monde se retourna pour dévisager le guerrier qui ne semblait avoir que la trentaine. Il leur expliqua que les hommes de la maison de Galdhir avaient des nains dans leurs ancêtres, et ceux-ci ont une vie bien plus longue que les humains. Donc les hommes du Nord vivaient plus longtemps que leurs cousins de l’Ouest ou du Sud.

-« D’ailleurs, j’aimerais vous poser une question, Powell, reprit-il, avez-vous des hommes du Sud parmi vos ancêtres ? Vous me rappelez mon ami N’bokor, le chef des Tribus du Sud. »

En effet Powell était noir, imposant de taille et de carrure : presque deux mètres. Celui-ci lui répondit :

-« Ouais, on peut dire que j’ai des hommes du Sud pour ancêtres, comme des tas de gens dans ce pays, mais je pense pas que ce soit le moment de vous faire un cours d’histoire. Vous aurez qu’à demander à quelqu’un une fois tout ce merdier résolu. »

Ils arrivèrent enfin sur le toit. Là, Loomis vit ce qu’elle n’avait pas vu de son hélico : les corps calcinés des autres marines, étendus de part et d’autre. L’odeur de la chair brûlée la rendit presque malade. Les marines n’avaient malheureusement pas le temps de s’occuper de leurs coéquipiers morts. Gennero et Powell s’occupèrent du C4. Il y en avait bien trop pour faire sauter une simple porte, fusse-elle blindée.

-« Mon colonel… Pourquoi leur avoir dit que nous étions une mission de sauvetage ? »

-« Laissez-moi faire, lieutenant… Notre mission est classée top secret. On ne peut pas se permettre de mêler des civils où des policiers là-dedans. »

-« Je la sens mal, cette histoire, mon colonel. Elle me rappelle le massacre à Tikrit… »

-« L’INCIDENT à Tikrit, lieutenant ! Veuillez ne plus me parler de cela ! Et si vous gardez le silence durant toute la mission, ce sera encore mieux ! »

Non loin d’eux, Thorgen observait la ville dévastée du haut de l’immeuble. Il se demandait à quoi cette ville devait bien ressembler dans son âge d’or, aujourd’hui révolu ; si un jour tout redeviendra comme avant. Le jour se levait. Thorgen regarda à l’horizon, et il vit une silhouette de femme au lointain. Une statue immense, comme il en avait rarement vue. Il appela Loomis, qui se tenait près de lui. »

-« Qui représente cette statue, là-bas ? »

-« C’est la statue de la Liberté. »

-« Une fois que tout sera fini, j’aimerais aller la voir de plus près… »

-« T’inquiète, on ira la voir… Je te le promets. »

Soudain, un cri inhumain se fit entendre. Tous devinèrent ce qu’il se passait : c’était le cri d’un dragon qui attaquait. Loomis courut vers Gennero et hurla :

-« C’est un dragon ! Vite, il faut se replier ! »

Dès le moment ou il entendit le mot « dragon », une étrange lueur brilla dans les yeux de celui-ci.

-« Pas question de fuir cette fois-ci ! Kawalsky, Powell, armez vos fusils, Jules, allez vous cacher derrière ces bouches d’aération ! Loomis, avec moi ! Ces pourritures vont payer pour les autres ! »

C’était du suicide. Peu importe. Gennero ne semblait plus lui-même, il était aveuglé par la vengeance. L’ombre noire du dragon apparut au-dessus d’eux dans un hurlement sinistre. Les fusils ouvrirent le feu vers la bête, qui, malheureusement, était insensible aux balles, de part ses écailles dures comme de l’acier. Thorgen tirait avec son arc les points sensibles du dragon, qu’il connaissait, mais il était trop loin pour le toucher. Le monstre se posa sur le toit devant Kawalsky. Celui-ci, de peur devant cette créature insensible aux rafales de son arme, la lâcha, et se mit à courir. Le dragon cracha son souffle enflammé sur le marine qui continua sa course en torche humaine, hurlant, courant jusque vers le rebord du toit d’où il tomba.

Devant la mort de son ami, Powell devint furieux. Il courut vers le dragon, qui ne l’avait pas remarqué, ramassa la M16 de Kawalsky d’une main, prit la sienne de l’autre, et lança un tir nourri dans la gueule du dragon, qui, malgré ses écailles, ne put rester sous les balles.

-« PRENDS CA ! CREVE, SALOPERIE, CREEEEEVE !!! »

Le dragon, malgré ses écailles, ne put rester sous le feu incessant de Powell. Il l’envola, tournant autour du toit, puis, dans un nouveau cri rauque, plongea en piqué vers Jules, qui jusqu’à maintenant pensait être en sécurité caché. Le monstre le saisit entre ses mâchoires sans stopper son vol, et le dévora sauvagement. Puis il repassa en rase-motte plusieurs fois, sous les tirs continus des marines, de Loomis, et sous les flèches de Thorgen. Quand soudain le dragon s’attaqua à Loomis. Elle trébucha lorsque le monstre se posa juste devant elle.

-« ALEXIA ! »

N’écoutant que son courage, au moment ou le dragon allait brûler vive Loomis, Thorgen prit une flèche et alla la planter dans l’œil du dragon, qui hurla de douleur. A ce moment, Loomis prit son M4, arma le lance-grenade et visa la bête :

-« Bye bye birdie... »

Elle tira, et la grenade alla en plein dans la gueule béante du dragon, qui avala la grenade, avant de voir son cou exploser de l’intérieur. Comme un poulet à qui on aurait coupé la tète, il tituba en arrière et tomba du haut du building. Le dragon était terrassé.

Gennero et Thorgen coururent vers Loomis pour voir si elle allait bien ; mais ils n’eurent pas à douter de sa santé une seconde, car à peine vit-elle le colonel qu’elle s’énerva :

-« Non mais vous êtes malade ? Vous avez vu, à cause de votre connerie, deux hommes sont morts ! Pourquoi vous n’avez pas ordonné de se replier ? »

-« Je n’ai pas d’ordre à recevoir de vous, sergent ! Nous avons le C4, et le dragon ne nous ennuiera plus. Quant aux pertes, c’est le métier qui veut ça. »

Powell était agenouillé, livide, immobile, ses deux armes encore en main. Il avait l’air de se réveiller d’un mauvais rêve.

-« Lieutenant ! Venez, on s’en va. »

Il se leva à contre-cœur.

La descente fut plus silencieuse que la montée : personne ne décolla ses mâchoires. Loomis regardait Gennero d’un mauvais œil. Ce type était un vrai enfoiré. Arrivés à la porte blindée, Powell posa les explosifs, et ils la firent sauter. Ils s’apprêtaient à descendre dans l’inconnu.

Derrière la porte, il y avait une petite salle, avec un bureau de garde et un escalier. Ils descendirent, et arrivèrent dans un grand couloir aseptisé baignant dans une lueur blanchâtre. Ils entendirent des grognements, et se rappelèrent que Jules avait enfermé des orcs dans les labos.

-« Laissez, je passe devant ! »Dit Thorgen.

-« Non, je vous accompagne ! » Répondit Powell qui avait envie d’en découdre avec l’ennemi. Il se saisit d’une hache d’incendie accrochée au mur, et tous deux s’avancèrent dans la pièce principale.

Dans la pièce principale, se trouvaient des dizaines de super-calculateurs alignés, clignotant de partout. Et au fond, un groupe d’orcs qui semblait chercher fébrilement quelque chose de perdu. Ils étaient moins nombreux que n’avait laissé entendre Jules.

-« Allez, bande de feignasses ! Il faut trouver l’objet du Maître, ou il nous transformera en chair à dragon ! » Hurlait un chef orc dans son lugubre langage. Seul Thorgen le comprenait. Quel objet Ralmathor a-t-il bien pu perdre, lors de son arrivée ici ?

Mais les orcs virent soudain les deux hommes armés, et foncèrent en hurlant vers eux. Thorgen dégaina la Gardienne, et Powell prit son pistolet dans une main, gardant la hache dans une autre. Loomis et Gennero arrivèrent, et les couvrirent de leur fusils. Ce fut un combat rapide et sanglant. Rapidement, tous les ennemis étaient à terre.

Une fois les orcs éliminés, l’équipe explora les bureaux auxiliaires, mais ils ne trouvèrent que des corps de programmeurs, de gardes et de nombreux orcs. Il semblerait que Jules les ait enfermé eux aussi, et qu’ils se soient battus jusqu’au bout de leurs forces. Soudain, lors de cette fouille, un bruit vint de l’un des placards au fond du bureau. Tous se préparaient au combat alors que Gennero allait ouvrir la porte. Mais avant, il tint à savoir ce qu’il y avait dans celui-ci.

-« Y’a quelqu’un ? »

-« Qu… Qui est là ? » Répondit une voix chétive.

-« Colonel Gennero, des US Marines. »

-« Vous… vous n’êtes pas des orcs ? »

La porte du placard s’ouvrit, et un type maigre, au teint pâle, en sortit. Il avait les cheveux en bataille et portait des lunettes. Dès qu’il vit ses sauveurs, il les prit dans ses bras un par un, les remerciant vivement. Mais lorsqu’il vit l’homme en armure, il blêmit encore plus, et ils durent attendre un moment avant qu’il ne puisse émettre un son :

-« Thorgen… »

A suivre…

Haha ! Une fin en plein suspence, comme dans les pires moment d'Alias ! Bon, pour le mod, on en parlera quand j'aurais fini l'écriture et que HL² sera en bacs.

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c'est simpa

j'ai lu qu'en diagonale la première partie...

j'aime vraiment bien l'idée...

suggestion: j'aurais plus vu le SWAT dans un Hughes MD520 que dans un Bell 206.... mais bon... ça choque pas trop...

Quant à l'hélicoptère des Marines: un BlackHawk c'est simpa... parcontre, les Marines sont un corps expéditionnaire, ils font très peu de missions intraUSA... pense plutôt au Rangers... quoi que ça casse l'incompréhension du type à l'épée...

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[citation=64619,40,5][nom]dPm a écrit[/nom]

suggestion: j'aurais plus vu le SWAT dans un Hughes MD520 que dans un Bell 206.... mais bon... ça choque pas trop...

Quant à l'hélicoptère des Marines: un BlackHawk c'est simpa... parcontre, les Marines sont un corps expéditionnaire, il font très peu de missions intraUSA... pense plutôt au Rangers... quoi que ça casse l'incompréhension du type à l'épée...[/citation]

On reconnait les connaiseurs :)

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  • 4 weeks later...

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