Eveden

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Tout ce qui a été posté par Eveden

  1. Mais je ne suis forcement capable de décrypter quand tu plaisante ou pas.
  2. Tu relis tout mon post du début à la fin, et t'as la réponse. :|
  3. J'ai voté intermédiare, mais honnettement ? Je m'en cogne complétement. Parceque si ça:
  4. :??: On a loupé un truc là ?
  5. Il était pas né lui à l'époque.
  6. - Papa c'est loin l'Amérique ? - Tais toi et nage !
  7. J'ai comprit, vive moi, je peux rendre un hommage à mon avatar ? Ok, merci. "Dieu des gme mge nia muemeuemeue amen"
  8. Ben la lettre des mensurations poitrinaire, ca veut dire quoi ?
  9. Une taille et une forme de bonnet de soutiens-gorge. [:grillade] :kaola:
  10. Eveden

    [Musique] Sommaire

    Sans moi merci. :/
  11. Oui, et y a une limite à tout. On peut plaisanter de tout, mais pas avec n'importe qui. Je ne dis pas que dans un cercle privé je ne suis pas un ignoble personnage qui sort des trucs 3 fois plus énormes, mais dans le cadre d'un forum publique certaines limites ne doivent pas être dépassées, et à mon humble avis d'humble forumeur lambda, cette limite a été franchie.
  12. Y a que moi que ca choque les propos à moitié racistes dans le titre du topic ? Ou alors les supporteurs de foot sont définitivement tous des connards , vous y comprit ?
  13. Eveden

    [Cinéma] Star Wars

    J'aime qu'on me parle comme ça.
  14. Eveden

    [Manga] GTO & Young GTO

    Si c'est doublé en français, je cois que c'est pas la peine. Argh, je me souviens des voix francaises de .Hack\\Sign et de One Piece [:eveden:6]
  15. Eveden

    [Cinéma] Star Wars

    Non plus, mais même si la VF peut en rajouter une couche, c'est d'abord le scénar et la mise en scène qui m'on déplus. Quand tu compare avec les IV V VI, les scénes de romances ou de sentiments étaient intégrées au film, ça passait comme dans du beurre. Maintenant on à le droit à la nouvelle école de cinéma qui veut que chaque moment un temps soit peu sentimental soit exposé avec lourdeur, sur la longueur et en faisant des personnages des marionettes balottées par leur sentiments, et non plus maitres de ceux ci. J'ai baillé à plusieures reprise pendant un star wars bordel ! C'est pas normal ! J'ai regardé plusieurs fois ma montre pour savoir quand ca se finirais ! Et pourtant j'étais pas franchement fatigué. Je ne dis pas que c'était de la merde, mais que franchement Mr Lucas a bien changé et que je préferais le petit réalisateur débrouillard et entété plutôt que l'usine à fric qui s'est laissé influencer par la mode. Ca se ressent dans cette triologie. De plus toute l'histoire est centrée sur les personnages principaux, comme si le fait qu'ils aient donné naissance (par inversion du temps) à ceux qui ont fait de la 1ere trilogie un monstre du cinéma leur donne le droit de supplenter toute la richesse des autres rôles qui donnait ce sentiment d'univers immense dans les premiers. Tu prends l'Empire contre Attaque, le général de la base rebelle de Hoth est un personnage qui à de l'importance, tout comme les officiers de ponts, ou l'officier chargé de l'assault impérial, on ressent (je ne saurais le décrire) que même ces roles mineurs, à la limite de la figuration, forme un tout. Sentiment que je ne retrouve pas dans les I, II et III. On sens que les 3 personnages principaux étouffent un peu le reste. A savoir Anakin, le maitre du moment et le méchant du moment (Maul, Doku et l'empereur). Alors vous me direz mais les roles secondaires sont très présents ! Oui, mais toujours centrés autour de ce trio, c'est une relation pyramidale (je ne parle pas de hierarchie hein), les héros en haut, et le reste de plus en plus proche de la base au fur et à mesure que son rôle est moins important. Dans les premiers, je voyais ça comme un cube ou une sphère, et les héros faisait partie de cette ensemble, on ne saurait dire où ils se trouvaient, et quand bien même ils auraient été au centre, il fallait décortiquer tout les autres personnages avant de voir les personnages principaux. Les relations ansi formées faisaient des personnages des entités d'un même ensemble qui formait un univers entier au lieu de former un point central dont découle le reste, qui fait toile de fond.
  16. Pfff, on peut jamais s'amuser ici bordel.