mota

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Messages posté(e)s par mota

  1. Ça alors, ça fout un sacré coup.

    Pareil que beaucoup, d'innombrables souvenirs certes virtuels mais non-factices. Un caractère paisible et un savoir énorme. C'est vraiment beaucoup trop tôt.

    Repose en paix vieux.

  2. Je poste régulièrement des photos sur ma page Google+ (je te laisse un peu galérer pour te souvenir de mon nom ... :D).

    Sinon je suis à Seal Beach, et je vais certainement déménager bientôt à Long Beach (c'est trop cher là où je suis). Donc si t'as prévu d'aller dans les alentours de LA, bigophone-moi.

  3. Bah pour l'instant je suis ici jusqu'en août. Après je finis ma cinquième année à Paris. Mais bon, faut pas se leurrer, les salaires sont clairement plus avantageux ici donc je me débrouille pour essayer de connaître des gens pour revenir pour mon stage de fin d'étude et pourquoi pas au moins commencer ma vie professionnelle ici.

    Après on verra, mais pour l'instant c'est ça le plan.

  4. Ah bah ouais, nickel. Tout se passe bien, faut juste faire gaffe parce qu'ici ils essayent de te tirer un max de thune en te prenant pour un pigeon dès que tu veux acheter quoi que ce soit mais pour le reste c'est cool, les gens sont zen.

    Et toi ? La famille, le chien, le travail, la voiture ?

  5. ca t'empeche pas de faire une escale en aout :o[/quotemsg]

    Faut bien faire le plein de kérozène pour remonter sur Paris

    Euh ça dépend quand en août, parce que, moi, je serais vers NYC la première semaine :D [/quotemsg]

    Bah je serai en plein final exams à Berkeley à ce moment-là.

    Sinon j'y vais en avril certainement, ça dépend de quand est le spring break.

  6. ...[/quotemsg]

    Sache mon cher ami que si je n'avais eu de gêne j'aurais dit que c'était une sombre merde.

    Mais mes parents m'ayant bien élevé, je reste poli.

    Donc en passant outre un simulacre d'analyse pédantique façon hipster du marais, avec des yeux de simple humain qui apprécie l'art qui est a la porté de sa sensibilité, on ne peut résumer ce court-métrage qu'en quatre mots: on se fait chier.