Project Codename : Erebion (nouvelle perso)


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Ben voilà, j'ai déja posté pour parler de ma nouvelle Project Codename : Erebion, et le fait que j'aimerais en faire un mod Half-Life (ou HL²). C'était ici et maintenant, je vais poster ici les deux premiers chapitres de mon histoire, et les autres vont suivre. Merci à ceux qui liront, et sachez que j'accepte toutes les critiques constructives, bonnes et mauvaises.

Project Codename :

Erebion

"Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut."

Genèse, Chapitre 1, Verset 3

Chapitre 1 : Chaos

27 Juillet 2007. L’hélicoptère Bell 206 du S.W.A.T. survole l’île de Manhattan, affichant aux yeux des membres des Forces Spéciales le plus terrible spectacle qu’il leur avait été donné de voir. –« Les sept plaies d’Egypte se seraient abattues sur la ville que ça n’aurait pas fait un tel merdier ! » Disait le Capitaine Baker, avec son accent du sud.

Il se tenait face aux autres membres de l’équipe. Il tentait de faire un rapide briefing, malgré le manque de temps.

-« Bon, la plupart d’entre vous ont vu de leurs yeux ce qu’il s’est passé, mais je vais quand même l’expliquer pour ceux qui n’étaient pas là – comme vous, Sergent Loomis. » Le sergent Loomis était une jeune recrue des forces spéciales, une femme forte et déterminée. C’était sa deuxième mission au sein du S.W.A.T., et elle venait juste de rentrer à New York suite à l’état d’alerte générale.

Le Capitaine continuait son speech.

-« Il y a 36 heures, des « anomalies magnétiques » ou une autre saleté du même genre, ont été détectées sur l’île. Par mesure de précaution et comme le pays était déjà menacé d’attentats, l’armée a évacué Manhattan. Et à peine l’évacuation finie, voilà que ce beau merdier apparaît. »

Il faisait signe aux autres de regarder encore une fois en dessous. La partie Nord de l’île avait complètement disparue, remplacée par une immense forêt, sombre et menaçante. La partie Sud était toujours là, mais la mystérieuse forêt avait envahi les rues, et les arbres poussaient entre les buildings de Midtown, le cœur commercial de la ville. Mais le plus étrange était cette gigantesque forteresse d’allure médiévale, en plein milieu de Central Park. Reposant là où se trouvait Central Park, elle faisait penser à une corne, droite et malveillante, avec ses meurtrières et ses remparts. Loomis eut un frisson rien qu’en regardant cette tour.

-« On pense que tout ça est apparu grâce à cette explosion lumineuse qui a recouvert toute l’île. En tous cas, c’est apparu juste après. »

-« Qu’est-ce qu’il y a dans cette tour, capitaine ? » Demanda un autre membre de l’escouade.

-« Tout ce que je sais, c’est qu’il y a quelque chose, mais quoi… De toutes façons, c’est pas notre mission. C’est celle de l’armée, qui réfléchit à une tactique appropriée pour faire péter ce truc dans les règles de l’art. Notre mission, donc, est de répondre à un appel de détresse envoyé par radio d’un commissariat de Murray Hill. Le message dit qu’ils sont assaillis. Malheureusement, on en sait pas plus. »

-« Qui sont les assaillants ? »

-« On en sait rien, mais on suppose qu’il s’agit de pilleurs. Y’a pas mal de gens qui sont restés sur l’île, et qui profitent du chaos ambiant pour foutre le boxon dans la ville, ils saccagent et volent, et certains se sont réunis en groupes armés. Donc, attendez-vous à une guérilla urbaine, avec des ennemis nombreux et sommairement armés. N’hésitez pas à tirer. On descend, on sauve ceux qui sont coincés dans le commissariat - si jamais il reste des gens à sauver - et on remonte. »

L’hélicoptère survolait maintenant Midtown. Sur le toit d’un des buildings, on pouvait distinguer un hélicoptère de déploiement des troupes des Marines. Ils devaient sûrement être là pour une autre mission de sauvetage, mais pourquoi les Marines et pas d’autres du S.W.A.T. ? Loomis présumait que dans ce bâtiment se trouvait de grosses huiles proches du gouvernement.

Soudain, un cri se fit entendre. Un cri inhumain qui glaçait le sang. Puis une chose inconnue vint d’on ne sait où. Elle était aussi grande que l’hélico, mais bien plus large à cause de ses ailes. C’était difficilement visible, car il faisait nuit et sa peau était sombre. Elle fonça vers l’hélico en poussant un hurlement, mais ne put éviter les pâles. Le pilote perdit le contrôle, et dut se poser en catastrophe au sol.

Heureusement, la forêt n’avait pas envahi entièrement les rues, et par endroits se trouvaient des clairières où l’équipe du S.W.A.T. put se poser sans encombres. Le capitane Baker ordonna un déploiement rapide autour de l’appareil. Loomis prit les devant, avec un autre sergent, Yeates. Une fois déployés, ils parlaient de la chose qui les avaient attaqués.

-« Et merde, mais c’était quoi ce truc qui nous a foncé dessus, Alex ? »

-« J’en sais pas plus que toi, Joe, mais j’ai cru voir un dragon. »

-« Un quoi ? »

-« Un dragon, tu sais, comme dans les contes : ces trucs qui volent, qui crachent des flammes, et qui bouffent des gens… »

-« Tu te fous de ma gueule ? Ces trucs-là, ça existe que dans l’imagination des tarés fans d’heroic-fantasy… »

-« Tu peux dire ce que tu veux, mais quand on a des forêts et des forteresses gothiques qui apparaissent dans un grand flash de lumière, faut pas s’étonner si ça grouille de bestioles bizarres. Et ça, c’est une tarée fan d’heroic-fantasy qui te le dit. »

En effet, elle sentait quelque chose rôder dans l’ombre des arbres qui entouraient la clairière. Parfois, elle avait même l’impression qu’il y avait des yeux qui l’observaient.

Pendant ce temps, le capitaine Baker et le pilote regardaient l’état de l’hélico : il était sur qu’il ne pouvait pas recoller, mais le pire était le sang noir qui recouvrait une bonne partie de cockpit et les pales. Ils en étaient surs : le truc qui les avait heurtés était vivant.

-« Et bien, pour un beau merdier… »

-« Il faut que nous envoyions un message pour qu’une autre unité vienne nous aider ! »

Mais il était hors de question d’appeler la cavalerie pour qu’une autre de ces créatures ne fasse écraser un autre hélico. Baker avait une idée : aller jusqu’au building où il avait remarqué un hélico militaire. Ils n’en étaient pas loin, mais cela voudrait dire traverser cette forêt, et explorer l’inconnu. « Peut importe ! », dit Baker. Il se retourna vers ses hommes et parla bien fort pour être entendu de tous :

-« Bon écoutez-moi ! On va aller vers ce building au nord d’ici, et y trouver les Marines qui doivent y être. C’est le seul moyen de s’en sortir. Nous allons… »

Un sifflement retentit dans l’air, et une flèche se planta dans l’hélico juste à coté du capitaine. Celui-ci, ayant enlevé son casque, se prit une deuxième flèche en pleine figure, et s’écroula. La peur s’installa aussitôt dans les rangs, et l’unité se mit en position de défense autour de l’hélico.

-« Mais nom de dieu Alex c’est quoi ce bordel !? » hurla Yeates.

-« J’en sais foutrement rien, mais prépare-toi à tirer ! »

Un pluie de flèches s’abattirent sur les SWAT, et plusieurs d’entre eux furent blessés. Puis, une grande clameur sortit des bois environnants. Une voix grave et inhumaine hurla dans une langue inconnue :

-« ARH KHAROM DOUL ! »

Et en un éclair, des êtres armés de cimeterres sortirent de toutes parts, encerclant les forces spéciales. Ils avaient la peau sombre, les yeux jaunâtres et des crocs, et avaient des armures sommaires que les balles de M4 perçaient facilement. Mais ils étaient en surnombre. La bataille fut sanglante, les créatures enjambant les cadavres de leurs amis tombés sous les balles pour tomber à leur tour, alors que les gars du SWAT finissaient par tomber sous les flèches des ennemis. Alors que la plupart des ennemis avaient été tués, les derniers attaquèrent par derrière en grimpant sur l’hélico, et ceux des forces spéciales encore debout furent sauvagement mis à mort sans même qu’il purent riposter. Seule Loomis put survivre à la dernière offensive. Il ne restait que trois ou quatre de ces créatures, et elle n’avait plus de munitions dans son fusil. Elle prit son pistolet, et en tua une, mais les autres lui foncèrent dessus et l’une lui asséna un coup qui la fit tomber, et elle se cogna la tête sur le sol. Le reste était flou, mais elle voyait encore les créatures s’apprêter à lui donner le coup de grâce, elle vit une silhouette humaine qui s’attaqua à son tour aux créatures, combattant avec une épée qui brillait jusque dans la chair de l’ennemi.

-« Pour Erebion ! Pour Galdhir ! »

Il combattit les créatures une par une, les terrassant par sa lame. Puis les images se firent plus sombres, et Loomis s’évanoui.

Chapitre 2 : Une rencontre Inattendue

Loomis se réveilla deux heures plus tard, étendue sur l’herbe, un linge plié placé sous la tête. Elle avait perdu son casque, ses armes, et sa manche droite était arrachée : elle avait un pansement de fortune sur le bras droit, là où la créature l’avait blessée,. Maintenant, alors que les souvenirs de la bataille lui revenaient, elle commença à deviner qu’étaient ces créatures repoussantes : c’étaient des orcs. Ils ressemblaient à la description qu’on faisaient d’eux dans le Seigneur des Anneaux, ou dans d’autres bouquins d’heroic-fantasy qu’elle avait l’habitude de lire. Mais cela n’avait aucun sens ! Comment ces choses sorties de l’imagination d’auteurs peuvent devenir réelles ? Yeates aurait deux ou trois choses à dire là-dessus… Puis elle se rappela qu’elle l’avait vu mourir devant les orcs qui ont grimpés l’hélico, Tous les autres devaient être morts, mais comment s’en est-elle sortie vivante ?

Un bruit vint des buissons avoisinants. Loomis sortit son couteau (seule arme encore en sa possession) pour se préparer à un éventuel retour des orcs. A moins que ce ne soit son mystérieux sauveur ? Quoi qu’il en soit, cette forêt semblait cacher bien des dangers, et elle ne voulait pas se faire surprendre une fois de plus.

Un homme s’avança vers elle. Sa simple vue remplit Loomis de stupeur : il avait une cape et un capuchon vert-gris, et sous la cape une armure garnie d’argent, avec une tête de lion en guise d’écusson. Sa capuche cachait son visage dans l’ombre, L’inconnu s’approcha, sans peur, vers la fille, une main tendue en signe de paix, puis pris la parole :

-« Hé ! Je suis content que vous aillez repris toute votre vigueur, néanmoins, veuillez lâcher cette arme. »

-« Qui…Qui êtes-vous ? »

-« Rien de plus que votre sauveur, jeune demoiselle, et avant de vous révéler qui je suis, j’aimerais bien savoir qui vous êtes, et où nous sommes. »

-« Se… Sergent Alexia Loomis, des Forces Spéciales de la police. »

-« Forces Spéciales ? Je n’en n’ait jamais entendu parler. »

Il souleva son capuchon, pour dévoiler son visage. C’était un homme assez jeune, mais ses traits était usés par le vent et la poussière, et une sagesse profonde semblait venir de ses yeux. Il avait les cheveux châtains, longs et une barbe de ceux qui voyagent longtemps dans la solitude. Il continuait à parler :

-« Mais il est vrai que vu vos armes, vos forces ont l’air très spéciales ! On dirait toute la force du souffle d’un dragon mise dans la main de l’homme ! Mais si vous avez de telles armes, et que nous avons des ennemis communs, je pense que je peux vous faire confiance. »

Il s’assit sur le sol, devant Loomis qui se sentit obligée de faire de même. L’homme sortit une pipe et s’installa, comme pour parler longuement.

-« Je m’appelle Thorgen, fils de Thorgeir, de la Maison de Galdhir. Chevalier et serviteur du Roi Maxander, et Champion d’Erebion. »

Tous deux parlèrent ainsi durant une bonne demi-heure, Thorgen racontant la guerre entre l’Alliance des Grands Peuples (Hommes du Nord comme lui et de l’Ouest, Elfes, Nains et Centaures) face à la menace de l’Empereur Ralmathor, et de ces armées d’orcs, gobelins, trolls et dragons. L’Alliance fut vainqueur, et l’armée de Ralmathor fut repoussée jusqu’aux terres inhabitées de l’Est où il se cachait dans sa Forteresse Sombre, préparant sa vengeance. Ensuite, après son grand rôle dans bien des batailles décisives – à qui il doit son titre de « Champion d’Erebion » - , c’est à lui que les Destins lui ont confiés la mission de se rendre dans les terres du Sud pour défier une dernière fois l’Empereur. Car seule La Gardienne, son épée, pouvait atteindre et vaincre ce puissant magicien.

Alexia n’en croyait pas ses oreilles : en temps normal elle aurait pris ce type pour un cinglé, mais après les évènements de ces dernières heures, elle était prête à tout croire. Elle questionnait parfois Thorgen s’il connaissait une personnage nommé Tanis Demi-elfe, Gandalf ou encore Willow, pour voir si le monde d’Erebion ne serait pas une des terres présentées dans ses livres ou films, mais il répondait toujours par la négative. Puis se fut à elle d’expliquer brièvement son monde, qu’il était sur l’île de Manhattan, qu’elle présenta comme « une île commerciale » (se qui était proche de la vérité vu que c’était le centre économique mondial). Elle expliqua l’apparition de la forêt, de la forteresse et des orcs « Dans une grande lumière », ce que Thorgen pensait être de la sorcellerie de l’Empereur. Elle répondit ensuite à ses questions, comme les « temples de verre » qui s’averraient être les gratte-ciel, les « chariots de métal » qui étaient les voitures abandonnées. Elle comparait les moteurs de ceux-ci à une horloge (car Thorgen connaissait des horlogers nains) et disait que les fusils marchaient avec de la poudre, que – à nouveau selon Thorgen - les magiciens avaient offerts aux nains pour creuser les mines, mais ceux-ci ne la maîtrisaient pas et l’abandonnèrent rapidement. -« Parfois les armées de Ralmathor usent de cette poudre pour détruire des murailles. » disait-il, passionné par les propos de son interlocutrice.

Mais le temps passait vite au coin du feu. Quatre heures s’étaient écoulées depuis son arrivée ici, et il fallait trouver de quoi survivre.

-« Merde, j’avais complètement oublié ! On doit vite aller sur les lieux de la bataille, peut-être qu’on peut trouver quelque chose… »

-« C’est inutile. Vous étiez la seule qui respirait encore quand je suis arrivé. Vous ne trouverez là-bas que désolation. Je suis désolé. »

-« Je… Je ne pensais pas à ça. J’ai besoin d’une arme, au cas où. Et je dois aller les voir une dernière fois… »

Thorgen l’amena dans la clairière où se trouvait l’hélico. Les corps de ces coéquipiers étaient étendus çà et là, et la radio de l’hélicoptère était fichue. Ils posèrent les corps l’un à coté de l’autre, les recouvrant d’un drap trouvé dans les affaires de survie. Loomis les salua une dernière fois, tandis que Thorgen les honora d’une complainte en Elfique qu’il avait appris des elfes sylvains. C’était un champ mélodieux et doux, bien que l’interprète n’avait pas les dons des elfes. Cet langue ressemblait fortement au Quenya, le langage elfique de Tolkien ce qui confirmait à Loomis qu’Erebion était soit inspiratrice de la plupart des œuvres d’heroic-fantasy, soit inspirée par ces mêmes œuvres, mais la deuxième solution était impossible. Elle trouva un fusil M4A1 avec lance-grenade intégré, un USP Tactical Pistol, et des munitions pour le tout. Plus un pack de premiers soins grâce auquel elle put mieux soigner sa blessure au bras. Son compagnon d’infortune, lui, se contenta d’un couteau supplémentaire, ne voulant pas manier ces choses bruyantes et lourdes.

-« Bien. Que fait-on maintenant ? La Forteresse Sombre est trop bien gardée – bien mieux que je ne le pensais, après sa défaite – et je ne saurais vaincre l’Empereur Ralmathor seul ; il nous faut trouver des hommes. »

-« Je sais où trouver des hommes, pas nombreux, mais ils viendront en renfort si on parvient à les contacter : il y a des marines dans un immeuble tout près. »

-« Des Morwins ? Ces maudits lutins des collines de l’ouest ? Vous en avez dans vos tours de verre ? »

-« Euh, non, pas des lutins, des ma-ri-nes, des soldats quoi ! Eux ils sauront nous aider. »

-« Très bien, je vous suivrais, et puisse mon épée vous venir en aide contre l’ennemi ! »

-« Qu’ils viennent, les ennemis, j’ai un compte à régler avec des saloperies... »

Et les deux partirent à travers les bois vers l’immeuble des marines, et leur seule chance de salut.

A suivre…

PS: Désolé si des bugs apparaissent dus au copier-coller massif, vous pouvez voir l'histoire sans problèmes [/url=http]ici[/url] cliquez sur "Project Codename Erebion" et voilà.

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Tres bon si ca sort en mod quelle sastifaction de zigoullier de l'orc a coup de m4

C'est vrai ce serai bien, mais je cherche des gens qui s'y connaissent pour m'aider car je suis une bouse. J'ai commencé à apprendre par des sites d'aide, et je cherche toutes sortes d'éléments qui peuvent être utiles (sons, models) en attandant de savoir programmer.

Modelleurs, mappeurs et codeurs sont les bienvenus ! Et j'informe que le chap 3 arrive bientôt !

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Il y a 36 heures, des « anomalies magnétiques » ou une autre saleté du même genre, ont été détectées sur l’île. Par mesure de précaution et comme le pays était déjà menacé d’attentats, l’armée a évacué Manhattan

J'ai pas très bien compris ça. Manhattan a été évacuée à cause des "anomalies magnétiques" ou de terroristes humains?

Après le crash l'humour dont fait preuve Loomis ne me paraît pas correspondre à ce genre situation. Je pense qu'il serait bien de réétudier ce dialogue, même en gardant un ton un peu décalé.

Je crois aussi que Loomis fait trop de références directes à l'heroïc-fantasy, et que c'est au joueur d'interpréter les choses, ce qui lui permettra de mieux s'identifier à Loomis.

Multijoueur prévu? Ca devrait être bien fun de faire des teams Humains/créatures ou ffa dans les rues et bâtiments de L'île.

On pourra conduire des véhicules (une jeep et pourquoi pas bateau etc)?

Jouer Thorgen serait une bonne idée et constituerai un changement dans le gameplay (armes blanches).

Le reste, c'est du tout bon! L'idée de départ est très bonne et ça sent le mégafun!

Il va falloir fournir un travail de titan, le pari n'est pas gagné mais, si tu es ambitieu et hyper-motivé tu as toutes les chances de créer un mod très populaire. Après, il faut voir le level design qui me semble ici primmordial, et il faut aussi que les personnages n'aient pas un look trop ridicule.

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[citation=59672,0,8][nom]Greaver a écrit[/nom]Alors le chapitre 3 il est ou, je veux la suite [:666]

Vraiment felicitation, [g]mais comme la dit celui en haut[/g], il faudrait que t'enleve les reference a SdA et autres, c'est au lecteur de s'en apercevoir de ce genre de chose :)[/citation]

Appelle-moi Maître [:darck], c'est pas dur à retenir.

Je trouve que le suspense du début ressemble à RE. Me trompe-je? En tout cas, prendre le mod en main par un gunfight maousse, je dis chapeau (hein qu'il sera jouable ce passage de l'hélico?).

Tiens, faire un mode coopération à la RE:Outbreak (Pas la version française! :D ) serait une tuerie! Tu dis à tes potes: "tiens les gars, on joue à Erebion!? Ouais! Pour commencer les joueurs doivent s'entreaider autour de l'hélico mais il faudrait refaire le scénario pour la coop :/

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[citation=59678,0,10][nom]Greaver a écrit[/nom]Ba ouai maitre thamieu, ou alors le mod coop se linmiterait a 2 joueur :/[/citation]

Oui, ça tient la route, mais ce serait fun de jouer à 8 en coop par exemple. Ou alors 1 commence à l'hélico, le 2 arrive pour le sauver et parallèlement les marines et les rescapés du commissariat se sortent de leur situation. Il faudrait supprimer les dialogues et intégrer une fonction radio ou trouver un moyen d'avertir ses alliés de sa position sans pouvoir parler et ainsi renforcer la notion de solitude. C'est compliqué mais en se creusant la tête c'est possible à établir. :)

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C'est vrai que ça pourrait etre marrant, meme a deux, pandora tomorow a prouver qu'on pouvait s'amuser en tres petit nombre sur le net.

Sinon ton mod il est solo ou multi? Les 2? j'ai la flemme de relire les post precedent :/

Si on veut faire joué les gars qui s'on enfermé dans le commisariat alors il faudrait en savoir un peu plus sur eux, pour l'instant on sait meme pas s'il sont encore vivant...

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[citation=59665,0,7][nom]thamieuz3r0 a écrit[/nom]

Il y a 36 heures, des « anomalies magnétiques » ou une autre saleté du même genre, ont été détectées sur l’île. Par mesure de précaution et comme le pays était déjà menacé d’attentats, l’armée a évacué Manhattan

J'ai pas très bien compris ça. Manhattan a été évacuée à cause des "anomalies magnétiques" ou de terroristes humains?

[/citation]

Les anomalies magnétiques. Comme le pays était en niveau d'alerte jaune (comme souvent ces temps-ci aux USA), ils ont vite évacués les lieux par précaution, ils ont surement eu peur que des terros fassent sauter un EMP ou une arme inconnue dans Manhattan. On dirait qu'ils se sont plantés... Il n'y a pas de terroristes dans mon histoire.

Pour le dialogue avec Loomis, je vais le relire. Et si elle comprend un peu trop vite, c'est que j'en ai fait une fan h'heroic-fantasy, ce qui est plus facile dans l'histoire pour moi.

Pour le mod, j'imagine qu'on incarnera pas Loomis ou Thorgen, mais un autre perso qui va venir plus tard. Un peu comme Enter The Matrix qui était une histoire parallèle à Matrix Reloaded.

Pour les modes multis, j'imagine bien un mode co-op, ou combat par équipe, mais je veux aussi des deathmatch bourins et méchants !

Je vais essayer de poster le chap 3 ce soir ou demain...

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Voilà le chap 3, il se passe rien, mais bon... Faut bien ça pour faire avancer le shmilblik !

Chapitre 3 : Les Marines

Nos deux héros marchaient vers le building où ils pensaient trouver les marines. Pendant ce temps, ils continuaient leur conversation sur leurs mondes respectifs.

-« Dis-moi Thorgen, comment tu es arrivé jusque ici ? »

-« Je marchait dans la foret, quand une grande lumière m’a aveuglé. La douleur m’a envahi, profondément. Et lorsque ma vue m’est revenue, j’étais devant un de vos immeubles, entre les arbres. Vous connaissez la suite… »

-« Tu es venu dans ce pays seul ? T’es du genre courageux… »

-« Ce n’est pas le courage, mais les Destins qui me poussent à combattre seul. »

-« Eh ben… Et comment tu comptes rentrer chez toi ? Cet Empereur, s’il est bien responsable de ce foutoir, il sera peut-être comment te faire rentrer dans ton monde ? »

-« Je n’y avais même pas songé… (il prend un air grave) Dès le départ, je savais que cette quête était sans retour. Alors peu importe… » Ces dernières paroles lâchèrent un froid, et la conversation tourna court.

Ils arrivèrent aux alentours du building, quand ils entendirent un bruit étrange. Cela semblait être de la musique. En effet, un pick-up était garé devant l’entrée principale, portes ouvertes et musique rock à fond dans l’autoradio. Des types armés se tenaient près de là, s’apprêtant à rentrer. Ils avaient l’air d’un gang, et étaient armés de pistolets automatiques, de battes de base-ball et de pieds de biche. Loomis se rappela du speech du Capitaine Baker à propos des pilleurs, et ces types en étaient sûrement. Ils semblaient appartenir à un gang. Deux d’entre eux parlaient :

-« T.J., on fout quoi là ? Faut qu’on se taille et qu’on aille là où y’a des trucs à piquer ! Allez, viens, mec… »

-« Ferme-la ! Tu connais pas ce logo ? C’est les bureaux d’Orion Corp. ! Une des plus grosses entreprises dans tout ce qui est multimédia ! Là-dedans, y’a des trucs sensas ! Le jackpot ! On entre, on prend tout et on sort, et personne ne viendra nous faire chier ! T’en pense quoi ? »

Entendant cela, Loomis avait un sourire en coin en pensant à l’accueil que les Marines allaient faire à ces abrutis. Elle n’était pas loin de la vérité. A peine les types rentrés dans le bâtiment qu’une voix forte et autoritaire lançait une sommation. Elle n’eut comme réponse que des tirs, ceux des agresseurs d’abord, puis ceux plus bruyant des fusils des Marines. Néanmoins, ils semblaient moins nombreux que prévus : deux ou trois tout au plus. Aucun des pillards ne ressortit du bâtiment.

Après la fusillade, Loomis et Thorgen voulurent aller à l’intérieur : Alexia passa devant, afin d’établir le contact. Une fois entrée, le même ultimatum qu’avant résonna dans le grand hall d’accueil : -« Stop ! Lâchez vos armes et avancez mains sur la tête ! Première et dernière sommation ! ». Elle s’exécuta. En s’avançant, elle vit les corps des pilleurs, mais aussi de nombreux orcs, et un bureau renversé au fond du hall, avec quatre hommes derrière : trois marines, et un gardien de la sécurité de l’immeuble.

-« Qui êtes-vous ? » Lança l’un des marines à la vue de l’uniforme de Loomis.

-« Sergent Loomis, forces spéciales de la NYPD. Je faisais partie d’une unité de sauvetage qui a été décimée. »

-« Et ben ! Comme quoi les unités de sauvetage n’ont pas la côte ici… Colonel Gennero, Marines, et voici Les lieutenant Powell et Kawalsky, et notre hôte, Jules. Mes hommes est moi, on est les seuls à s’en être sortis, et Jules, lui, est le seul garde encore debout. »

Le Colonel Gennero était l’archétype du soldat meneur d’hommes : mâchoire carrée et regard d’acier. Jules, à coté de lui, était sûrement un ancien policier qui faisait ses dernières années avant la retraite en tant que vigile.

-« On a été quasiment envahis par ces… choses, ils nous ont pas laissés de chance. J’ai pu sortir du sous-sol et verrouiller la porte blindée derrière moi. Puis je me suis caché, jusqu'à ce que les soldats me trouvent. Il doit rester au moins des dizaines de ces monstres enfermés dans les laboratoires de l’immeuble. » Dit Jules.

-« Et nous, on a été attaqués par un dragon à peine posés sur le toit. Une vraie boucherie ! Cette saloperie volante est insensible aux balles, et a brûlé vif plus de la moitié de mon escouade ! »

-« Sûrement un dragon. Nôtre hélico en a heurté un lors du trajet, et on s’est écrasés en pleine forêt… Et on est tombés dans une embuscade, et là tous les autres ont été tués. »

-« Hum… Ca devient de plus en plus compliqué cette histoire ! Et comment vous vous en êtes sortis, et pas les autres ? »

-« J’ai été aidée… D’ailleurs, je ne suis pas seule, y’a quelqu’un dehors qui est avec moi. Je vais l’appeler. »

Loomis repartit un moment, puis revint en compagnie de Thorgen. Les marines faillirent se décrocher la mâchoire en voyant ce guerrier d’époque avec son armure, son épée et son arc. Kawalsky s’exclama :

-« Eh, c’est Halloween ou quoi ? Qui c’est ce mariole ? »

-« Ferme-là, Kawalsky, fais-nous des vacances. » Répondit son coéquipier Powell, qui n’en demeura pas moins étonné. Thorgen se présenta, et lui et Loomis tentèrent de résumer la situation : La forêt, la lumière, Erebion, les orcs, et le reste. Powell fut le premier à réagir :

-« Mais comment c’est arrivé ? Comment tout ça est-il venu de notre monde au vôtre ? »

-« Je l’ignore, répondit Thorgen, mais je pense que c’est la faute à Ralmathor, et à sa magie. »

-« Je n’en suis pas si sûr. » dit Gennero à voix basse. Mais lorsque Loomis l’interrogea, il répondit qu’il n’en savait rien.

-« Bon, on fait quoi maintenant ? On reste ici et on attend les renforts ? »

-« Les renforts vont pas tarder à venir, mais pas pour nous. Nous, on va continuer notre mission. On doit rentrer dans les sous-sols, mais Jules a utilisé le système de verrouillage d’urgence, et il faut un code pour le déverrouiller. Code que personne n’a ici. Il va falloir trouver une autre manière de rentrer. »

-« Mais vous oubliez les orcs à l’intérieur ! »

-« C’est pas un problème : on s’est déjà occupé de ceux qui étaient dans cette pièce. »

Le Colonel Gennero se mit à établir une stratégie, afin d’entrer dans les labos du sous-sol. Il demanda à Loomis si elle voulait les suivre, ce qu’elle accepta. Thorgen aussi voulut se joindre à eux, et Gennero accepta à contre-cœur, ne désirant pas vraiment un sauvage dans ses rangs.

-« Comme on est dans la même merde, on va devoir s’en sortir ensemble. Si j’ai bien compris votre récit, le dragon qui nous a attaqués est mort, ce qui fait qu’on peut aller sur le toit chercher le C4 dans l’hélico et faire sauter cette porte. Jules, vous venez avec nous, vous pourrez vous montrer utile avec votre connaissance des lieux ; que notre remontée de cet immeuble soit moins mouvementée que notre descente. »

Ainsi le groupe se préparait à monter, quand Gennero prit Thorgen à part :

-« Ecoute-moi bien, bouseux, t’as pas intérêt à nous ralentir, ou à nous gêner, car si c’est le cas, je me ferais un plaisir de te réexpédier d’où tu viens à coup de pied au cul, clair ? »

-« Clair, Colonel. Ne vous inquiétez pas pour mes capacités au combat, vous n’étiez qu’un mouflet que je combattais déjà dans l’armée de Galdhir ! Et continuez à me parler sur ce ton, et je ferais abstraction de la faible différence entre vous et un orc… Clair, Colonel ? »

-« C’est ça, oui… »

A suivre…

Pour les propositions, j'ignore encore ce que je vais faire, à part le mod solo (un mod co-op ou team deathmatch serait fun). Je pense attendre HL² comme tout le monde pour faire un truc vraiement bien !

Et pour thamieuz3r0 : Zed is dead, baby, Zed is dead...

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-« T.J., on fout quoi là ? Faut qu’on se taille et qu’on aille là où y’a des trucs à piquer ! Allez, viens, mec… »

-« Ferme-la ! Tu connais pas ce logo ? C’est les bureaux d’Orion Corp. ! Une des plus grosses entreprises dans tout ce qui est multimédia ! Là-dedans, y’a des trucs sensas ! Le jackpot ! On entre, on prend tout et on sort, et personne ne viendra nous faire chier ! T’en pense quoi ? »

Entendant cela, Loomis avait un sourire en coin en pensant à l’accueil que les Marines allaient faire à ces abrutis. Elle n’était pas loin de la vérité. A peine les types rentrés dans le bâtiment qu’une voix forte et autoritaire lançait une sommation. Elle n’eut comme réponse que des tirs, ceux des agresseurs d’abord, puis ceux plus bruyant des fusils des Marines. Néanmoins, ils semblaient moins nombreux que prévus : deux ou trois tout au plus. Aucun des pillards ne ressortit du bâtiment.

ca fait un peu penser a polo et son pote dans les taxi,ils entrent dans l'entrepot pour prendre des magnetoscopes et ils se font arrêter

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[citation=59832,0,16][nom]DOB3RM4N a écrit[/nom]ca fait un peu penser a polo et son pote dans les taxi,ils entrent dans l'entrepot pour prendre des magnetoscopes et ils se font arrêter[/citation]

Ouais, mais là, c'est une fusillade sanglante... Je trouvais que c'était une bonne manière de présenter la Orion Corp, et de faire une scène d'action plus "classique" que le flinguage d'orc.

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Pour le Zed 's dead, c'est parceque ça rentrait pas. J'ai mis 2 répliques sur la même ligne et ça va mieux :)

Etant donné le nombre de dialogues, tu pourrais envisager de faire un film. J'ai commencé un scénar dans un tout autre registre mais bon, on sent que j'ai pas fais ça toute ma vie...

Il faut être optimiste. :jap:

Edit: Super ton avatar, silver.

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[citation=59889,0,20][nom]guiguidu31 a écrit[/nom]j'ai pas le courage de le lire ce soir mais vu ce que raconte tout le monde dessus sa promet d'etre pas mal, sinon il est vrai qu'il te faudrais attendre HL² mais en attendant rien ne t'empeche de commencer a lancer le projet...[/citation]

moi j'ai lu, je te le conseil, ou imprime et lit le, l'ecran du pc fatigue les yeux a cette heure-ci.

Sinon, je cherche un bon tuto pour apprendre a modélisé armes et autre, dans le topic lien y'a un site en allemand :/

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Merci pour votre soutien, ça me donne envie d'avancer. Pour info, j'aimerais bien que la partie solo du mod se passe en tant que l'un des 3 marines... Ce serait bien fun, commencer déja avec un M16A2, un M9, un couteau et des grenades...

A propos des armes : Peut-on prendre celles d'autres mods ou add-on? Je présume qu'il faut demander avant... C'est surtout pour les armes des marines et des pilleurs, pour celles des orcs, on va devoir les créer.

Et pour mon avatar, c'est Ben le tueur de "C'est arrivé près de chez vous", je pense que vous l'avez reconnu...

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[citation=60037,0,22][nom]gen_silver a écrit[/nom]Merci pour votre soutien, ça me donne envie d'avancer. Pour info, j'aimerais bien que la partie solo du mod se passe en tant que l'un des 3 marines... Ce serait bien fun, commencer déja avec un M16A2, un M9, un couteau et des grenades...

A propos des armes : Peut-on prendre celles d'autres mods ou add-on? Je présume qu'il faut demander avant... C'est surtout pour les armes des marines et des pilleurs, pour celles des orcs, on va devoir les créer.

Et pour mon avatar, c'est Ben le tueur de "C'est arrivé près de chez vous", je pense que vous l'avez reconnu...[/citation]

[:edith] Grillad

j'aurais parié que sa aurais été la femme, mais on poura choisir le perso, non ?

Les pilleurs l'arme de base serais :

2151.jpg

Max, ou peut etre des fusils de chasse :D

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