Cidji

High / Low : revenu d'Espagne High dans le sens où, comme à chaque fois, certaines personnes ou choses de la vie quotidienne manquent, et Low dans le sens où la chaleur constante, les prix inférieurs, l'autonomie et les soirées manquent également. Ceci dit, je préfère toujours les soirées casanières plutôt que les sorties en boîte où les marchés des phéromones et de la débilité masculine sont en pleine recrudescence. Quant aux espagnols, eux, je peux directement les occulter sans soucis.

Mais, dis-moi, ne partirais-tu pas avec moi par hasard ? Je dis ça simplement parce que demain, je me taille également pour l'Espagne, à Alicante. Encore un séjour qui va lourdement peser sur mon foie.

Il y a quelques semaines, j'ai vu Public Enemies et Bronson. Je suis légèrement déçu par le premier, je m'attendais à un film un peu plus pétant, dynamique, et au final, je l'ai trouvé assez longuet. Bon, pour un film sur la Prohibition, c'est loin d'être mauvais, mais venant de Michael Mann, je pensais voir un peu plus de subtilités, autant dans les images que dans le scénario. En ce qui concerne Bronson, je l'ai trouvé génial. Très romancé et un peu court, mais l'acteur principal manie son rôle avec brio. D'après la bande-annonce, j'imaginais la présence permanente de combats, mais ça ne reste que des bribes à certaines occasions. Décalé et déjanté, dans l'ensemble, ça me plait bien. J'suis bien tenté par The Reader également. Et le film qui, apparemment, est à voir absolument, c'est "Un prophète", de Audiard. J'attends avec impatience.

Je suis allé le voir hier après-midi, eh eh. Je serai bien allé voir Public Enemies mais il n'est sorti qu'aujourd'hui, alors... Ça reste un thriller politique, et donc de façon sous-jacente, un film qui n'a rien de bien extraordinaire mais qui tient tout de même en haleine. Les films dans le genre résident souvent dans les démarches et les recherches de preuves, et sont plus souvent psychologiques que boom-kaboom-splush, ce que j'aime de manière générale, Je ne suis pas déçu. Par contre, et ça, on ne m'enlèvera pas, je déteste Ben Affleck. Face à un Russel Crowe (un peu bouffi, il faut l'avouer) qui a tout de même un meilleur palmarès que son confrère, le contraste est flagrant. J'ai vu la bande-annonce de Bronson, aussi, et il m'a l'air d'être tout bonnement délectable !

Je suis allé voir Very Bad Trip la semaine dernière et je n'ai pas été déçu. On nous expose une bande de potes dans lesquels on peut tous plus ou moins se retrouver, ce qui nous rapproche d'eux et nous inclue un minimum dans l'histoire. Certes, il y a quelques actions décadentes qui semblent légèrement déjantés et improbables, mais c'est ce qui donne au film son caractère assez farfelu et barré. J'ai également apprécié le fait que pour un film traitant d'un sujet à controverse comme l'alcool, et surtout américain, il n'y ait eu aucun retour à la moral ou aux valeurs fondamentales locales qu'il ne faut Ô grand jamais briser. Une pointe de déception durant le film concernant les flash-back trop peu nombreux (mais ça, c'est un peu normal, vu que c'est un trou noir général qui fait l'histoire) mais qui s'est rapidement comblée une fois la fin survenue. Je suis également allé voir Sunshine Cleaning. Ayant vu que le réalisateur est le même que celui de Little Miss Sunshine, ainsi que l'affiche, je me suis dit que ce film devait être du même acabit : convivial et apportant une certaine joie générale. Au final, ce n'est pas vraiment ça. Cela ne veut pas dire pour autant que je n'ai pas aimé, loin de là. Le scénario est dans l'ensemble assez simple mais l'ambiance familiale (tout aussi présente dans Little Miss Sunhsine) prête à sourire et à se prendre au jeu. Pas d'explosions à foison ni de multiples histoires entremêlées à la sauce Lynch, juste une simple histoire affective qui suit son bonhomme de chemin. Je m'attendais à toute autre chose, une ambiance un peu plus joviale peut-être, mais le résultat ne m'a pas déçu. Un film agréable mais loin d'être exceptionnel. Quant à Terminator : Renaissance, contrairement à tout ce qui a été dit, je ne l'ai pas trouvé tant à chier que ça. Lorsque je dis ça, j'occulte en très grande partie les opus précédents et me focalise uniquement sur le spectacle offert. Ce que je regrette, c'est qu'il s'érige en tant que film d'action quasiment banal, et que le côté novateur des films précédents (je ne compte pas le 3) n'existe plus. On cherche juste à divertir avec des scènes rythmées, violentes et dans des endroits infiniment grands. Certes, le spectacle est garanti, et en tant que tel, j'ai apprécié, mais c'est cette touche spéciale des anciens Terminator qui manque. De plus, j'aime beaucoup Christian Bale (notamment dans Le Prestige, que je conseille vivement), mais dans ce film, il s'efface vite et laisse sa place à Sam Worthington, qui n'est pas vraiment exceptionnel. Je place ce film comme n'importe quel autre film d'action qui sait divertir mais sans plus. En ce qui concerne les autres sorties, je suis bien tenté d'allé voir Jeux de pouvoir, même si ça semble être du vu et revu. J'irai voir Public Enemies à coup sûr ainsi que Inglorious Basterds lorsque ce sera le bon moment.

Une gueule de con, des bras dignes d'un adepte de l'onanisme, la position de l'arme très phallique et des chevilles prêtes à exploser : ouais, c'est bien toi.

High : Je commence ma première exposition photographique le dimanche 14 juin dans un village de Seine-et-Marne. Ça ne mange pas de pain, mais bon, il risque d'y avoir environ 500 personnes durant cette journée. De quoi me faire une petite notoriété, d'autant plus que je risque fortement de passer dans le journal de la Marne. De plus, une ancienne personne qui m'enseignait les arts plastiques quand j'étais gosse m'a proposé une collaboration pour l'année prochaine avec elle. Et elle m'a également mis sur la voie pour faire une deuxième exposition à Roissy, qui, cette fois-ci, pourrait durer trois mois. On peut dire que j'ai le bout rouge ! Low : Par contre, confier le tirage de ses photographies à un laboratoire, ça donne de très bons résultats, mais bon Dieu que ça fait mal au cul quand je vois les tarifs finaux. On dirait qu'ils ont omis la vaseline !

Ça tombe bien, il y a un grand cimetière à Denfert Rochereau, ça pourrait t'être utile pour entasser les cadavres lors de tes Open Bar. (Hey dis, tu m'invites, tu m'invites ?!)

J'avoue, même celle de mon p'tit frère est plus grosse, et plus grande, et sans riiiides !

Low : J'ai un mal de ventre continu et inexpliqué depuis deux jours. Que les pur(in)istes se réjouissent, je vais assez souvent aux chiottes pour éviter des encombrements intestinaux. Peut-être que je bois trop de Coca. Ou que je bois trop, tout court. High : La semaine dernière, je suis allé voir l'expo "Our Body", et aujourd'hui, "L'instinct de l'instant", de Marc Riboud. La première était plaisante mais vraiment trop chère, malgré la réduction, tandis que la deuxième était également sympathique mais légèrement trop courte. J'ai aussi appris que le groupe Blazcooky fera sûrement appel à mes services pour prendre les photos "officielles" de leur prochain concert. Ainsi que Domy Prod, à l'opéra de Lyon, pour suivre le Pockemon Crew (groupe de danse Hip-Hop) durant leurs tournées et leur participation aux différents évènements proposés.

"Stand by me" joué à travers le monde.

Je suis allé voir le deuxième OSS 117 le jour de sa sortie. Dans l'ensemble, je n'ai pas été déçu. Cependant, je note deux détails péjoratifs si on compare ce film avec le précédent : la répétition majeure de certaines situations / certains gags ainsi que le grain et la qualité de l'image. Avant, l'image ressemblait plus ou moins à un film de l'époque, tandis que là, on voit bien que l'on fait face à un film plus récent. C'est dommage, mais bon, ça ne nuit pas pour autant à l'ensemble du long-métrage. Ce que j'aime, par contre, c'est qu'il est encore plus politiquement incorrect que l'ancien. Même si ça semble parfois un peu lourd, les sujets pointés du doigt sont un peu plus diversifiés, et plus exploités. Quant au scénario, on ne s'attend évidemment pas à quelque chose de transcendant. C'est le personne qui nourrit le film, d'où son titre.

Heureusement qu'il n'est pas pasteurisé...

Yep, au quai du Point du Jour, à Porte de Saint-Cloud. Je suis seulement allé dans deux bâtiments : la tour principale avec le logo arboré tout en haut de celle-ci et le Levant, bâtiment que nous avons commencé et terminé cette semaine.

Ai-je demandé une seule seconde à ce que l'on se prenne d'empathie pour moi ? Je ne pense pas non. Je pense donc avoir encore le droit de rédiger quelques mots ici (tout comme vous avez le droit de les commenter), d'autant plus que mes interventions se font plutôt rares ici. Mais bon, disons que je trouve ça un peu usant et désuet, cette tendance à la négativité qui ne s'essouffle jamais. Enfin bref, je ne vais pas en chier une pendule.

High : Le boulot à TF1 se passe bien. Ça ne mange pas de pain, on peut y retrouver quelques jolies demoiselles affichant une belle vue sur leur string quand elles se penchent ou des types qui partagent quelques idées savoureuses, et on voit surtout à quel point les employés se touchent la nouille tout en déblatérant sur Koh-Lanta. Et j'ai passé une putain de bonne soirée hier soir dans un bar. Pas tout seul, je vous rassure, même si ça ne serait pas étonnant. Low : Le plan affectif me tourmente légèrement en ce moment. C'est excessivement énervant © Un ami nous a parlé d'une soirée qui se déroulera demain à Savigny-le-Temple et consistera en une énorme soirée dans un entrepôt géant. Le problème, c'est que ce type a le don de nous dégoter des plans souvent foireux, ou, lorsqu'ils se déroulent bien, de les faire foirer. Rajoutons à ça un prix excessif pour pouvoir y entrer. Mais bon, rester seul chez moi un samedi soir ne peut qu'exacerber ma paranoïa, donc, je cèderai tout de même à la tentation de la soirée.

Low : Le Fight Club, c'est bien, mais ça laisse quelques séquelles tout de même. High : Il se peut que je travaille cinq mois dans les locaux de TF1 pour de l'inventaire et de la connexion / déconnexion de postes informatiques. Un peu d'argent ne me ferait vraiment pas de mal.

À ce niveau-là, ça fait froid dans le dos. [:lowskill:8]

T'imagines alors si on fait un Gang-bang avec un lapin rose...

Si si gros, même combat, 77 Keus 10 4ever. Tu n'habites pas très loin de chez moi en plus. Et nous n'avons jamais pensé à faire des bébés.